Les finances de la France.
Il n'y a donc pas que la France qui accumule les trous, mais comme pour elle, la seule question qui s'est posée était de savoir si l'on comblait le trou ou bien si l'on mettait un panneau.
Mettre un panneau a probablement été ce qu'il y avait de plus simple !
Mettre un panneau a probablement été ce qu'il y avait de plus simple !
Les deux rapports, cités en liens au bas de la page, sont on ne peut plus clairs. L'un, le premier, dresse un état des lieux à la fin de l'année 2005, l'autre, de quatre ans postérieur, enfonce le clou et confirme, s'il en était encore besoin, qu'il serait hors de question, voire complètement suicidaire, de continuer comme cela.
Très honnêtement et entre nous, que penserions-nous de parents qui, en le sachant pertinemment, délibérément et en toute conscience, ne laisseraient à leurs enfants que des dettes pour tout héritage ?
Or, tous bords politiques confondus et depuis quarante ans, qu'est-ce qu'ont fait d'autre les gouvernements auxquels nous avions confié, parce qu'ils avaient tout fait et tout promis pour cela, nos intérêts et la gestion de notre pays ?
A qui, finalement, devrions-nous le plus en vouloir ? A ceux qui nous ont mis dans cette situation ou à celui, quel qu'il soit, qui, au risque d'affronter une impopularité marquée, ferait tout pour nous en sortir ?
Pour le moment, on en a un... gardons-le !
Très honnêtement et entre nous, que penserions-nous de parents qui, en le sachant pertinemment, délibérément et en toute conscience, ne laisseraient à leurs enfants que des dettes pour tout héritage ?
Or, tous bords politiques confondus et depuis quarante ans, qu'est-ce qu'ont fait d'autre les gouvernements auxquels nous avions confié, parce qu'ils avaient tout fait et tout promis pour cela, nos intérêts et la gestion de notre pays ?
A qui, finalement, devrions-nous le plus en vouloir ? A ceux qui nous ont mis dans cette situation ou à celui, quel qu'il soit, qui, au risque d'affronter une impopularité marquée, ferait tout pour nous en sortir ?
Pour le moment, on en a un... gardons-le !
D'autres pays que nous ont été déclarés en faillite, à l'image de l'Argentine il n'y a pas si longtemps, et notre prétendue supériorité, notre arrogance, notre immobilisme, nos archaïsmes, notre Histoire et notre Passé seront un jour les causes de notre passif.
Que dit une blonde quand elle voit une peau de banane sur le trottoir ? "Je vais encore tomber !". Que se dit la France, de son côté et depuis des années, à chaque vote du budget ? "On va encore creuser le déficit" avec une constance qui ne peut que rappeler cet homme qui, tombant du haut d'un gratte-ciel, se dit, à chaque étage, "... jusque là tout va bien ...".