Humeurs 30 juillet 2013, C'est fini.
30 juillet 2013, C'est fini.
Même en sachant qu'il n'y avait plus aucun espoir et que l'issue fatale était, même, à souhaiter le plus rapidement possible, la disparition d'un être cher vous laisse groggy comme un boxeur debout. Tant que l'on se bat contre une maladie et que le fait d'adopter une stratégie thérapeutique plutôt qu'une autre vous rend acteur d'une guérison, le combat est valorisant mais, à la seconde même où, quoi que vous décidiez ou tentiez, la cause est entendue et se réduit à exaucer quelques dernières volontés... on se sent, brutalement, très petit et inutile.