Mercredi, Janvier 22, 2025
   
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Je crains le pire.

Le pire, à n'en pas douter, mais pas à cause du film lui-même, bien sûr, ni du thème,  mais des publicités qui risquent de l'accompagner après celle concernant le film sur Gainsbourg.

Vous imaginez, ne serait-ce qu'une seconde ? "Phillip Morris"... "Phillip Morris"... Ça sonne, pour le moins, comme le nom d'un cigarettier.

Après le ridicule d'une pub modifiée pour un film sur un acteur qui, sans cigarette, est comme Louis Armstrong sans sa trompette, Larousse sans son pissenlit, Dracula sans ses canines acérées, un flic sans son sifflet, Blanche Neige sans les sept nains, David sans Goliath, Roméo sans Juliette, Roselyne sans grippe A et j'en passe, le titre ne pourra pas rester celui-çi aux yeux de nos censeurs souterrains et métropolitains !

De deux choses l'une, soit ce film ne se verra pas promu dans les couloirs et les stations, ce qui serait finalement le plus cohérent, soit le titre sera, comment dire, adapté à la situation et au prisme de certains.

Dans le but fort louable d'éviter la moindre confusion qui pourrait être incitative, je propose, là, sans plus réfléchir et comme premier jet, que le titre soit remanié en " I LOVE YOU JULES DUPONT "...

 

Incident à l'émission "Vis ma vie".

 

Un incident exceptionnel a opposé les deux protagonistes d'un des épisodes de l'émission télévisée "Vis ma vie" dont le concept, rappelons le, est de mettre en situation deux participants qui échangent, le temps du tournage, leur vie et leur métier.

Dans l'épisode qui a créé la polémique et qui, de ce fait, a été déprogrammé, un conducteur de TGV et un médecin généraliste découvraient chacun, pour un temps, la vie et l'activité professionnelle de l'autre. Ce n'est qu'au terme du tournage, et lorsque le médecin a obstinément refusé de reprendre son activité libérale, que l'incident a éclaté, au grand dam de l'équipe technique.

Interrogé, le médecin a expliqué qu'il venait de vivre une vie qu'il ne supposait même pas.

"Plus de sept ans ! J'ai fait plus de sept ans d'études après le bac, des études longues et difficiles, et le constat que je suis bien obligé de faire, je le reçois en pleine figure et il est fort simple, je gagne moins ma vie à exercer la médecine que, cheminot, à conduire un train.

Le temps de ce tournage, comme Alice au pays des merveilles... j'ai traversé le miroir... j'ai basculé dans un autre monde.

Lire la suite : Incident à l'émission "Vis ma vie".

   

Coup de froid sur le réchauffement.

"Le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat, le Giec, qui a pourtant obtenu le prix Nobel en 2007 pour son rapport de plusieurs centaines de pages sur le réchauffement climatique a reconnu une erreur de date sur la fonte des glaciers himalayens. L'annonce de leur disparition en 2035 reposerait, finalement, sur une étude peu fiable, ce qui signifie, en langage courant, assez probablement fausse. Le Sunday Times, de son côté, a révélé que le lien entre le réchauffement climatique et l'aggravation des catastrophes naturelles, évoqué et mis en avant à Copenhague, n'avait pas été scientifiquement validé."

Il semblerait que ce Prix Nobel ait été remis un peu vite.

Bof, après tout, il ne reste plus qu'une chose à faire, celle de créer le prix Nobel de Bévue. Les postulants vont se bousculer, à commencer par l'OMS qui nous a vendu, fort cher au final et à un moment où la France n'avait pas vraiment besoin de se tirer une balle de plus dans le pied, un apocalypse viral qui a fait "Pschittt...", ceux qui, après la canicule de 2003, ont réussi à nous en annoncer 13 pour le siècle qui suivrait sans avoir été capables de prévoir celle qui venait de se produire, ceux qui nous avaient annoncé que le nuage radioactif de Tchernobyl s'arrêterait pile-poil à la verticale de nos frontières, etc..

Nous avons eu aussi, mais il y a quelques siècles, des "Experts" qui nous assuraient que la terre était plate, que la femme n'avait pas d'âme ou qui, à de multiples reprises, ont fixé, puis reporté à une date ultérieure, celle de la fin du monde et quantité d'autres fausses "vérités vraies" au nom desquelles ceux qui n'émettaient même qu'un simple doute terminaient sur le bûcher.
   

Grotesque !



Les deux versions d'une affiche publicitaire pour le même film, selon qu'elle se trouve exposée dans la rue ou dans les couloirs du métro parisien. Sans l'ombre d'un doute, il doit s'agir de deux Gainsbourg différents ou bien alors du même, mais avant et après sa cure de sevrage tabagique.

Il y a quelques nombreuses années, lors d'une intervention humanitaire dans un pays musulman victime d'une grave catastrophe naturelle, les autorités locales avaient fermement demandé que le symbole de la "Croix rouge" soit repeint sur les véhicules d'intervention pour dissimuler la ... Croix ... aux yeux des authentiques fidèles !

Quelque temps plus tard, à l'occasion d'un défilé de haute couture, le grand couturier concerné s'était vu vivement conseillé, via le Quai d'Orsay qui en relayait la demande, d'en retirer certaines robes de soirée dont les broderies dorées pouvaient évoquer la calligraphie de versets du Coran !

Pendant le tristement célèbre gouvernement de Vichy, la censure radiophonique interdisait toute allusion à des titres musicaux anglo-saxons, ainsi "Tea for two" devenait "Thé pour deux" et, plus ridicule encore, le célèbre "Lady be good" se voyait rebaptisé en "Mademoiselle, soyez gentille"...

N'aurions-nous, finalement, de choix qu'entre les ayatollahs et la bonne conscience Vichyssoise ? A la seconde où une quelconque forme de censure, ou de simple travestissement d'une image en fonction de sa propre opinion, aussi fondée soit-elle, puise sa justification dans le bien d'un Peuple auquel, par définition, on refuse tout libre arbitre, elle n'a plus de limite formelle et toutes les dictatures ont procédé de la même démarche intellectuelle, au moins à leur début.

Il reste pour le moins paradoxal d'assister à une telle démarche au moment où l'on discute du sort de la burqa qui, au nom d'une conviction personnelle, dissimule des pieds à la tête celle qui en est revêtue. N'oublions pas, non plus, qu'une proposition de loi, déposée à l'Assemblée nationale le 15 septembre, visait à imposer que la mention "Photographie retouchée afin de modifier l'apparence corporelle d'une personne" soit accolée à toutes les photos publicitaires ayant fait l'objet d'un retraitement informatique.

En l'occurrence, il est vrai qu'il ne s'agissait que des photos de mode, mais on peut quand même s'interroger sur certaines de nos incohérences.
   

Vague de froid sur la France.


Après la "croissance négative" de l'Economie Française...

Après la "réduction positive" du nombre de fonctionnaires...

Nous avons, maintenant, le "réchauffement régressif" de la planète...


Et si ce fameux réchauffement n'était rien d'autre, après tout, que la "Grippe A" de l'écologie ?


   

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