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Taxe carbone.

Titre du journal Le Monde du mercredi 29 juillet 2009 :

"La taxe carbone devient un véritable casse-tête fiscal."


Ce site le disait déjà à la rubrique "Causes du mal", ceci étant, il était tout à fait normal qu'il s'agisse d'une usine à gaz... à gaz, oui, mais carbonique !

Ce gaz est, indiscutablement, devenu un gaz à effet de serres et ce n'est pas demain la veille qu'elles vont se relâcher.

En effet, le filon est trouvé et la porte est ouverte à tous les excès : taxe sur les hyperthyroïdiens, les hyperactifs et tous ceux qui souffrent d'un métabolisme basal accéléré, taxe sur les activités sportives et physiques, y compris sexuelles, taxe sur la danse sauf le slow, taxe sur les boissons pétillantes ou gazeuses, champagne compris, sur les comprimés effervescents et que sais-je encore ?

Le méthane ayant un impact bien plus important encore, l'étape suivante sera, à n'en pas douter, une taxe sur les petomanes et une autre, de fait, sur le cassoulet, les haricots, les lentilles...

Je laisse à nos technocrates de Bruxelles le soin d'instaurer la VAMI, vignette annuelle de métabolisme individuel, qui sera délivrée, après une visite médicale remboursée par la sécurité sociale, dans le but d'établir l'assiette d'une contribution équitablement liée à notre participation personnelle au réchauffement climatique.

Les Français ont, de tous temps, redouté qu'un jour ou l'autre, on leur fasse payer l'air qu'ils respirent.

Nous sommes tout proches du but puisqu'il suffirait, pour cela, de se fonder, avec une rigueur parfaitement scientifique, sur l'air que nous respirons en trop.

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