Je pense qu'il s'agit du cœur du problème tel qu'il est perçu actuellement. Que nous ayons raté le processus d'intégration, c'est un lieu commun que de le reconnaître alors, de là à rêver d'assimilation, autant parler de la pluie et du beau temps.



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Chaque élection nous amène, immanquablement, la promesse ou, au moins, l'intention, de la part des candidats, d'en finir avec le "cumul des mandats". Celle du printemps 2012 n'a, évidemment, pas dérogée à la règle et, comme d'habitude, le passage à l'acte se fait attendre et ne serait pas sans rappeler les bonnes résolutions de 1er janvier.
Cessons d'employer, systématiquement, les termes "racisme" ou "xénophobie" ... là où, dans bien des cas, il pourrait ne s'agir que d'un simple et populaire sentiment d'injustice. Le ballet bien réglé de la "culpabilisation-victimisation-repentance" finira par porter tort à tout le monde y compris, et surtout, à ceux, tous bords confondus, qui n'auront été que des apprentis sorciers, l’œil uniquement rivé sur l'échéance électorale à venir.
« Il sera candidat à l'Assemblée Nationale jusqu'à sa mort. Après, il se présentera au Sénat. »
Lionel Stoléru, à propos de Marcel Dassault in L'Événement du Jeudi, 21 novembre 1983.
Maladie spécifiquement Française, nous sommes les champions, toutes catégories confondues, du nombre de Ministères et de notre faculté à en inventer de nouveaux.
« De Gaulle trop loin ou trop haut, le gouvernement diminué, le Parlement en résidence surveillée, la compétition des barons pour la possession des fiefs en déshérence fait rage. L'un d'entre eux, le technocrate, a pris de l'avance sur les autres.