Après ma réaction « à chaud », à la suite du résultat électoral d’hier soir, je ne ressens ce matin que tristesse et accablement :



Commentez... Participez...
Les commentaires sont libres et ouverts à tous mais, si vous souhaitez participer plus activement en proposant des articles qui, eux-mêmes, pourront lancer des réactions, c'est très simple, il vous suffit de cliquer sur le petit cadenas noir, à droite, pour créer votre compte.
En juin prochain se tiendront les élections du Parlement européen. On pourrait imaginer, dans nos rêves les plus fous, que cette assemblée ait un rôle politique à jouer dans l'expression collective des peuples européens et de leur volonté commune sur tous les sujets, économiques, sociétaux, philosophiques et touchant à l'avenir du continent pris dans la tourmente d'une mondialisation sauvage d'où émergent les géants de demain qui risquent de dominer la planète.
Hier après-midi, samedi, j’ai marché quatre heures dans la forêt, pour une misérable cueillette de ceps (photos ci-jointe). Je n’ai pas pour autant perdu mon temps, ne cessant pas de réfléchir en marchant. Ce matin dimanche, nouveaux échecs : deux sets de tennis perdus, contre deux adversaires différents (4-6, 4-6). Je réfléchissais toujours, ne parvenant pas à me concentrer.
![]() |
Un point m’a particulièrement frappé dans les déclarations du président de la République, à l’occasion de sa conférence de presse, hier à l’Elysée, sa dénonciation "des violences de la droite, pour laquelle nous serons toujours illégitimes".
Aurait-il donc oublié le climat de haine qui a dominé tout le quinquennat de Nicolas Sarkozy traité par les socialistes de "présidents des riches", de "bling-bling", "voyou de la République", etc. ?
« De Gaulle trop loin ou trop haut, le gouvernement diminué, le Parlement en résidence surveillée, la compétition des barons pour la possession des fiefs en déshérence fait rage. L'un d'entre eux, le technocrate, a pris de l'avance sur les autres.